Sonatas 555

  • Year

    1992
  • Chroreography

    Michèle Anne De Mey
  • Assistant

    Virginie Jortay
  • Stage design

    Michel Thuns
  • Lighting design

    Francis Gahide
  • Costumes design

    Alain Wathieu

The show

Sonatas 555 gathers 9 dancers and a sheep on harpischord sonatas selected among the 555 composed by Domenico Scarlatti.

Dancers Manola Canteria, Pascale Gigon, Oliver Koch, Anouk Llaurens, Monica Marti, Joanna O'Keeffe, Pierre Rubio, Deborah Salmirs, Mat Voorter
A show by Cie Michèle Anne De Mey
Co-producers Festival d'Avignon 1992, Conseil général des Hauts de Seine, Gémeaux de Sceaux/Scène Nationale
With the support of Ministère de la Cté française de Belgique (Service Musique et Danse), du Commissariat général aux relations internationales, de la Commission communautaire française internationale, de la Commission communautaire française (Bruxelles-Capitale) et du Festival Szene de Salzbourg
Thanks Bois Henri Lochten
Photo Virginie Jortay

In the press

Sonata 555 se déguste comme une cerise sur le gâteau. Fin plaisir de gourmet qui charme les papiles plus qu’elle ne remplit l’estomac. C’était son clair enjeu, et son jeu rigoureux ponctué de hasards.
La Libre Belgique - Juillet 1992
Claire Diez
Michèle Anne De Mey a réglé une chorégraphie rutilante de précision. De même que les papillons épinglés ne perdent rien de leur éclat, cette hyperchorégraphie dégage une décontraction et une volonté de jouer avec les règles de l’art qui renoue avec l’impertinence discrète de sa première pièce Sinfonia Eroïca
Libération - Juillet 1992
Fabienne Arves
Une variation joliment troussée sur des sonates de Scarlatti. Le déchaînement véritablement jubilatoire des danseurs réunis pour l’occasion (…) se communique instantanément au public et opère sur lui un effet nettement galvanisant.
La Croix - Juillet 1992
Certes les sonates de Scarlatti qui servent de support à la chorégraphie ont un punch irrésistible, mais ce sont la musicalité innée de Michèle Anne De Mey et sa sensibilité raffinée qui nous touchent. La danse jaillit spontanément, simplement, sans artifice ni prétentions intellectuelles. Enfin une danse libre, pure, légère et heureuse d’être ainsi !
Le Figaro - Juillet 1992
René Sirvin
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